Une histoire de cinéma

Une histoire de cinéma

Un voyage à travers les époques du cinéma

Mouvement UP

Chaque mois, Antoine Jullien vous fait voyager à travers les époques du cinéma et vous en tire un récit hors du commun. Un podcast Revus & Corrigés, coproduit par le Mouvement Up.

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Festival Lumière – Robert Altman, le franc-tireur d'Hollywood

Résumé : La carrière de Robert Altman se place sous le signe de la provocation, de l’iconoclasme, du défi. Surfant sur le vent de liberté apporté par le Nouvel Hollywood, il se lança dans une série d’aventures audacieuses, ne se pliant jamais ni aux diktats commerciaux ni à la mode. Réputé colérique et irascible, son attitude et son anticonformisme vont le faire bannir des studios avant un spectaculaire come-back au début des années 90.

À l’occasion d’une rétrospective de son œuvre au festival Lumière à Lyon, Antoine Jullien vous replonge dans le monde de Robert Altman que le critique Robert Benayoun avait justement appelé « le chaos fertile ».

Musiques : 

  • Bande originale du film Docteur T. et les femmes composée par Lyle Lovett
  • Bande originale du film Le Privé composée par John Williams
  • "Suicide in Painless" par Johnny Mandel
  • "It Don't Worry Me" par Keith Carradine 
  • Bande originale du film The Player composée par Thomas Newman
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Nos années 70 – Partie 4/4 : Rencontre avec Jérôme Wybon

Résumé : C’est un épisode spécial de notre podcast Une histoire de cinéma auquel nous vous convions. Après y avoir consacré plusieurs épisodes, Antoine Jullien revient sur l’ensemble de la collection « Nos Années 70 » éditée par Studiocanal en compagnie de son maître d’œuvre, Jérôme Wybon. La collection « Nos Années 70 » propose de parcourir cette décennie faste du cinéma français à travers des films rares, oubliés ou pas toujours considérés à leur juste valeur.

Couverture : Je sais rien mais je dirai tout © 1973 Studiocanal

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André Cayatte, un cinéaste mal aimé

Résumé : Le nom d’André Cayatte ne résonne pas toujours bien dans les oreilles des cinéphiles. Considéré comme un réalisateur de films à thèses, le cinéaste a subi les foudres d’une partie de la critique, en particulier de la Nouvelle vague, malgré les succès publics et la reconnaissance de ses pairs. D’abord avocat, l’homme passé derrière la caméra n’aura eu de cesse de traquer les erreurs judiciaires et de dénoncer les injustices. Mais il était aussi un expérimentateur de formes et de récits, comme le prouve son diptyque La Vie conjugale, édité en DVD-Blu-Ray chez Pathé, qui nous rappelle que l’œuvre d’André Cayatte mérite d’être redécouverte.

Musiques :

  • Bande originale du film À chacun son enfer composée par Vladimir Cosma
  • Bande originale du film Piège pour Cendrillon composée par Louiguy
  • Bande originale du film La Vie conjugale composée par Louiguy
  • "La Partida" par Carmela et Paco Ibanez

Épisode en partenariat avec Pathé vidéo.

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Tomás Gutiérrez Alea, le cinéma cubain sous la Révolution

Résumé : Le cinéma cubain a mis du temps avant de se faire connaître en dehors des frontières de l’île. Contraints de se plier aux préceptes de la Révolution, les cinéastes n’avaient souvent d’autre choix que de se soumettre ou s’exiler. Tomás Gutiérrez Alea choisit une voie médiane, supporter de la Révolution tout en pointant ses dérives, avec un sens critique suffisamment acceptable pour les tenants du régime. 

À l’occasion de la sortie en Blu-ray et DVD d’un coffret regroupant trois films emblématiques du cinéaste,* La Mort d’un bureaucrate* (1966), La Dernière Cène (1976) et* Fraise et chocolat* (1993), édité par Tamasa, Antoine Jullien vous raconte le parcours de ce réalisateur méconnu à travers les soubresauts sociétaux et politiques de son pays.

Musiques : 
"Los Barbudos-Fajardo" par Ivan Gomez Araujo
"Candela" par le Buena Vista Social Club
"Danza del altiplano" par Leo Brouwer
"Campina" par Havana Lounge de Cuba

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Nos Années 70 – Partie 3/4 : Alain Jessua, le cinéma hors des normes

Résumé : Le nom d’Alain Jessua n’est pas très connu du grand public et pourtant il fut l’un des rares cinéastes en France à oser aborder le cinéma d’anticipation, parfois à la lisière du fantastique. C'est un réalisateur prémonitoire et intuitif dont la majorité des films a traité de thèmes qui font toujours l'actualité : l'obsession du tout sécuritaire, l'exploitation des travailleurs immigrés, la société du spectacle, la peur de vieillir. Le cinéma de Jessua est aussi peuplé des grandes stars des années 70 et 80 : Alain Delon, Annie Girardot, Patrick Dewaere, Gérard Depardieu, Jean Yanne.

À l’occasion de la sortie en Blu-ray de Traitement de Choc et Armaguedon dans la collection « Mes années 70 » éditée par Studiocanal, Antoine Jullien vous raconte ce cinéaste iconoclaste et ambitieux.

Musiques : 

  • Bande originale du film* Frankenstein 90* composée par Armando Trovajoli
  • Bande originale du film* Traitement de choc* composée par René Koering
  • Bande originale du film Armarguedon composée par Astor Piazzolla